ORIENTATIONS PEDAGOGIQUES
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2007
ÇáÊæÌíåÇÊ ÇáÊÑÈæíÉ æÇáÈÑÇãÌ ÇáÎÇÕÉ ÈÊÏÑíÓ ãÇÏÉ ÇááÛÉ ÇáÝÑäÓíÉ ÈÓáß ÇáÊÚáíã ÇáËÇäæí ÇáÊÃåíáí 1 SOMMAIRE 2 Préambule 1. Entrée par les valeurs et entrée par les compétences 2. Profil de sortie 3. Eléments organisateurs de l’enseignement/apprentissage du français dans le cycle secondaire qualifiant 4. Evaluation
10 5. Présentation des modules
12 6. Organisation pédagogique
13
15 7. Progression: -
Troncs communs -
Première année du cycle du baccalauréat -
Deuxième année du cycle du baccalauréat
Bibliographie 2 Préambule La réforme, engagée par le ministère de l’Education nationale, vise le développement d’un enseignement de qualité s’appuyant sur nos constantes civilisationnelles et culturelles ; cet enseignement se veut une préparation efficiente à des études supérieures réussies et/ou un tremplin pour une insertion aisée des jeunes dans le marché du travail et leur ancrage dans les valeurs humaines universelles. Aussi cette réforme se donne-t-elle pour finalités :
La formation d’un citoyen autonome par le biais d’une appropriation des
valeurs civiques et humaines universelles ;
La formation à la philosophie et à la pratique des droits de l’homme et de
l’enfant, de la citoyenneté, de l’environnement et de la tolérance ;
La compréhension et l’assimilation des différents changements et
développements de la civilisation humaine ;
La formation de citoyens à même d’agir et d’interagir avec les percées
scientifiques, technologiques et économiques en fonction des besoins de la nation. Comme le stipule la Charte Nationale de l’Education et de la Formation, le système éducatif marocain «
aspire à faire avancer le pays dans la conquête de la
science et dans la maîtrise des technologies avancées et […] contribue ainsi à renforcer la compétitivité du pays et son développement économique, social et humain, à une époque caractérisée par l’ouverture sur le monde (la Charte de
l’Education et de la Formation, page 10). Partant de ces considérations, la réforme de l’éducation et de la formation met l’apprenant au centre de l’action pédagogique, d’où la nécessité d’une refonte du dispositif pédagogique, didactique et méthodologique dans la perspective de faire de l’élève l’acteur principal de son apprentissage. L’entrée privilégiée pour atteindre cet objectif est la mise en place d’une pédagogie des compétences. L’enseignement/apprentissage du français, au cycle secondaire qualifiant, à l’instar des autres disciplines, repose sur le concept de compétence. L’élève qui accède au cycle secondaire qualifiant est déjà capable de s’exprimer de manière correcte et efficace, dans des situations de communication complexes. Il est appelé, durant ce cycle, à consolider ses acquis, à se perfectionner en vue d’une appropriation élargie et progressive des dimensions culturelles, discursives et linguistiques de la langue française. 1. Entrée par les valeurs et entrée par les compétences 1.1. Entrée par les valeurs A l’instar des autres disciplines, le français contribue au développement des valeurs nationales et universelles, telles qu’elles sont énoncées dans les textes de référence officiels. Les propositions pédagogiques retenues prennent en compte cette 3 exigence. Il revient à l’enseignant de mettre en évidence les valeurs véhiculées dans les oeuvres étudiées. 1.2. Entrée par les compétences Le concept de compétence est, selon P. Perrenoud, «
une capacité d’agir
efficacement dans un type défini de situations, capacité qui s’appuie sur des connaissances mais ne s’y réduit pas » Ainsi, dans le domaine de l’apprentissage
d’une langue, il ne suffit pas de posséder des savoirs linguistiques et des savoir faire communicatifs pour être à même de communiquer efficacement dans une situation de communication réelle. Dans la perspective de dépasser la trilogie « savoir, savoir faire et savoir être
», la
compétence est à considérer en termes de savoir combinatoire « qui s’acquiert dans et par l’action » comme le souligne Le Boterf. Ceci permet de dire que :
l’élève est acteur de son apprentissage ;
il construit ses compétences en mobilisant deux types de ressources. Le
premier type englobe les connaissances, les savoir faire, les qualités personnelles propres à chaque apprenant. Le deuxième type se rattache à l’environnement de l’apprenant et à sa capacité à apprendre à partir de cet environnement ;
la compétence est évolutive chez un même élève, et n’est pas identique
d’un élève à l’autre face à un même problème à résoudre ou un même projet à réaliser ;
un élève compétent est celui qui sait mobiliser / construire, en temps
voulu, des compétences adéquates pour répondre à/gérer des situations problèmes d’ordre communicatif. Ainsi la réponse compétente est spécifique à chaque individu et à chaque situation. Dans le souci de dispenser un enseignement/apprentissage répondant de manière efficace à la fois, aux besoins des publics du cycle qualifiant, de l’enseignement supérieur et du marché du travail, le curriculum se doit de doter les lycéens de compétences de communication susceptibles de faciliter leur intégration dans la société. 2. Profil de sortie A l’issue du cycle secondaire qualifiant, l’apprenant devra être capable de: 2.1. Recevoir et produire de l’oral Ecouter activement autrui ;
Comprendre les énoncés reçus ;
Prendre la parole ; 4
Participer de manière efficace à un échange en respectant les paramètres
de la situation de communication ;
Produire des énoncés en adéquation avec la situation de communication ;
S’exprimer d’une voix claire, intelligible et audible ;
Utiliser le niveau de langue approprié à la situation de communication ;
Respecter le point de vue d’autrui ;
Présenter une communication orale construite et adaptée au public
(document, point de vue, compte rendu, exposé) ;
Utiliser le lexique approprié et respecter les règles morphosyntaxiques. 2.2. Recevoir et produire de l’écrit
Orienter sa lecture et son écrit en fonction de la situation de
communication ;
Reconnaître les différents genres d’écrits (littéraire, scientifique,
journalistique, etc.) ;
Reconnaître le fonctionnement des différents types de textes et de
discours ;
Déterminer la visée de supports divers (scripturaux, iconiques, etc.) ;
Anticiper le contenu d’un document à partir d’indices significatifs
(internes et externes) ;
Adapter sa stratégie de lecture au projet ;
Distinguer l’explicite de l’implicite, le dénotatif du connotatif dans
différents supports;
Rendre compte de la compréhension d’un texte par un résumé, une fiche
de lecture, etc. ;
Prendre des notes, résumer, synthétiser des textes d’idées;
Lire l’image ;
Exprimer une opinion personnelle en la justifiant de manière cohérente ;
Assurer la cohérence d’un message en fonction de la visée et du type de
texte ;
Utiliser à bon escient les organisateurs textuels, les connecteurs logiques
et chronologiques ;
Utiliser un vocabulaire précis et adapté à la situation de communication ;
Veiller au respect des règles morphosyntaxiques ;
Adapter la mise en page des documents à l’intention de communication
et respecter la ponctuation ;
Produire des écrits créatifs et personnels. 2.3. Travailler en autonomie
S’approprier des outils de la méthodologie du travail intellectuel ;
Utiliser les codes et références spécifiques aux lieux et supports où l’on
accède à l’information (Centre de Documentation et d’Information, ateliers, bibliothèque, Internet, etc.); 5
Utiliser les ouvrages de références (dictionnaires, matériels audiovisuels,
sites Internet, cédéroms, etc.) ;
Déterminer une problématique pour orienter sa recherche ;
Savoir repérer les mots clés pour organiser sa recherche ;
Sélectionner des informations ;
Classer les informations ;
Organiser les informations sélectionnées en fonction du projet de
recherche ;
Etablir une bibliographie. 3. Eléments organisateurs de l’enseignement/ apprentissage du français dans le cycle secondaire qualifiant L’enseignement / apprentissage du français au cycle qualifiant s’inscrit dans une démarche de projet et s’organise autour des éléments suivants: 3.1. Le projet pédagogique 3.1.1. Philosophie du projet: Le projet pédagogique est la traduction en actions du projet éducatif. Sa pertinence réside dans le fait qu’il permet de placer les élèves dans de véritables situations d’apprentissage et qu’il offre à l’enseignant l’opportunité de s’intéresser au parcours de chacun. Plutôt que d’intervenir dans des activités répétitives, traditionnelles et décontextualisées, il repose sur la planification, les techniques d’animation interactives, le réinvestissement des acquis et le développement de nouvelles compétences. Par conséquent, la conception d’un projet doit reposer sur :
Une démarche collective plutôt qu’individuelle ;
La situation d’apprentissage, la résolution de problème et le vécu des
apprenants ;
La nécessité d’avancer aux rythmes des apprenants pour éviter les
situations d’échec ;
La complémentarité entre l’apprentissage linguistique et l’apprentissage
social (la langue mise en action dans des situations réelles) ;
L’évaluation et le suivi des différentes étapes du projet et de sa
finalisation. 3.1.2. Démarche du projet Mettre en place un projet pédagogique suppose que l’enseignant procède à :
Une évaluation diagnostique (en début d’année) lui permettant de
dégager le profil de la classe ;
La négociation et à la formulation en termes contractuels du projet
permettant d’associer les élèves à leur propre production et partant à leur propre formation ; 6
La clarification des compétences que les élèves doivent acquérir à l’issue
d’un ensemble d’activités programmées pour une période donnée ;
L’élaboration et la programmation de tâches et d’activités diverses
favorisant la construction des compétences escomptées ;
La conception ou la prise en compte de procédures d’évaluation
destinées à apprécier le degré de maîtrise de ces compétences ;
La tenue d’un carnet de bord lui permettant de consigner au fur et à
mesure, les étapes de réalisation du projet, les points forts et les points d’amélioration du travail effectué, le degré d’implication des élèves, les imprévus, etc. 3.1.3.. Articulation Le projet doit s’articuler aux différentes données du curriculum, notamment:
les orientations pédagogiques ;
les champs d’enseignement / apprentissage: lecture, écriture, oral et
langue;
les supports: les oeuvres littéraires proposées et les documents suscitant
l’intérêt des élèves, etc. Le projet doit, par ailleurs, s’ouvrir aux activités diverses (artistiques et culturelles) de l’établissement et de son environnement et s’adapter aux impératifs de l’organisation de l’année scolaire (vacances, évaluations périodiques et examens …). 3.2. Le module Le module est un dispositif de mise en oeuvre du projet pédagogique. II porte aussi bien sur le développement de compétences transversales que sur l’acquisition de compétences disciplinaires relatives à l’apprentissage de la langue cible.
le module est organisé en séquences et en activités d’apprentissage qui
s’interpellent et qui se complètent ;
le module s’articule principalement autour d’une oeuvre littéraire pour
toutes les filières et toutes les options; la littérature ne concerne pas exclusivement les sections littéraires. En effet, les sections techniques et scientifiques doivent également se doter de la compétence culturelle nécessaire à l’apprentissage d’une langue et à la formation générale de l’élève.
le module, dans sa mise en oeuvre, s’inscrit dans la démarche du projet et
prend en compte les besoins spécifiques de l’apprenant. 3.3. La séquence La séquence didactique (ou projet séquentiel) est un ensemble d’activités visant le développement de compétences; celles-ci constituent une réponse aux besoins des élèves, préalablement identifiés et analysés. C’est l’outil le mieux adapté à une gestion optimale du temps en fonction du rythme de chacun. 7 En effet, le projet pédagogique est constitué d’un ensemble de modules euxmêmes déclinés en séquences didactiques conçues sous forme d’activités successives, cohérentes et interdépendantes. Celles-ci peuvent être effectuées en classe et hors de la classe, suivant une démarche décloisonnée, dans l’optique de développer chez l’élève les compétences voulues. L’évaluation qui clôt la séquence permettra, en même temps, d’évaluer les nouveaux acquis et de prévoir les actions de remédiation et de consolidation qui s’imposent. 3.4. Les activités de mise en oeuvre Cette conception, plus proche des besoins des élèves et plus ouverte quant au rôle de l’enseignant, passe par un assouplissement des horaires impartis aux diverses activités. Ainsi, tel projet nécessitera davantage d’heures de lecture que le précédent, tel autre privilégiera la production écrite ou l’initiation à la documentation. Le principe est que l’ensemble des activités, prévues dans le cadre du projet, convergent et se complètent. En outre, les activités seront décloisonnées et intégrées les unes aux autres autant que nécessaire. L’enseignant, sans perdre de vue la nécessité de veiller à l’équilibre et à la progressivité des activités, essayera de les diversifier en fonction des compétences visées en réception et en production de l’oral et de l’écrit. La répartition des activités de classe met en perspective, pour les trois années du cycle qualifiant, le cheminement d’un apprentissage progressif recherchant la consolidation des acquis des cycles antérieurs, leur perfectionnement, en vue de l’appropriation de la langue cible. Les domaines de l’enseignement apprentissage sont la lecture, l’écrit, la langue, l’oral et les travaux encadrés. 3.4.1. Activités de lecture La spécificité de cette activité est la lecture et l’étude d’oeuvres intégrales, pratique qui devra permettre d’appréhender une entité littéraire sous ses multiples facettes:
étudier l’oeuvre pour comprendre les principes sous-jacents qui en
régissent la composition ;
s’intéresser à sa genèse pour saisir la problématique de la création
littéraire et entrevoir le rapport de l’auteur avec son oeuvre et l’ancrage de celle-ci dans son environnement historique et culturel;
analyser le contenu, y compris le non-dit, pour découvrir la conception
du monde dont elle est le reflet;
interroger les personnages;
sonder leur psychologie pour comprendre leurs motivations; 8 L’étude d’oeuvres intégrales permet d’articuler les analyses fragmentées (un extrait dont on justifie le choix) et les visions d’ensemble:
éléments de fiction ;
réseaux de personnages ;
étude de l’espace et du temps ;
construction et progression dramatique ;
thèmes dominants ;
choix narratifs, dramaturgiques et esthétiques…
L’oeuvre intégrale apparaît donc à la fois comme l’une des finalités de l’enseignement du français dans le Secondaire Qualifiant (donner le goût, les outils et développer les compétences d’une pratique autonome de la lecture des oeuvres littéraires) et comme le support principal des diverses activités qui caractérisent cet enseignement. Un tel choix demande l’adoption de démarches méthodologiques et de stratégies de lecture appropriées à l’étude de l’oeuvre littéraire:
La lecture méthodique relie constamment observation et interprétation
et fait participer activement l’élève à la construction du sens à partir de réseaux d’indices textuels et discursifs. Quel que soit le genre de texte ou le type de discours considéré, c’est avec ses compétences d’analyse personnelles, y compris celles qui font intervenir sa subjectivité, que l’élève progresse dans la construction du sens ;
La lecture analytique s’attache à dégager le sens d’un texte par une étude
détaillée des techniques d’écriture, et s’intéresse aux effets que produisent ces techniques sur le lecteur.
La lecture sélective permet de dégager les informations en fonction du
projet de lecture ;
Le groupement de textes s’appuie sur la confrontation de textes
appartenant au même genre ou à des genres apparentés pour la mise en évidence de caractéristiques textuelles et discursives significatives ; La séance de lecture peut aussi avoir comme supports des textes et des poèmes variés, d’auteurs francophones, notamment marocains, en vue d’élargir les horizons culturels des apprenants et de les sensibiliser à la diversité linguistique francophone. La lecture s'intéresse également à l'étude de l'image. On utilisera des images fixes et mobiles pour apprendre aux élèves à dégager les spécificités du message iconique et à mettre en relation le langage verbal et le langage visuel; 3.4.2. Activités de langue Grammaire de la phrase Les notions
de base de la langue ayant été étudiées au collège, le tronc commun
se préoccupe de la mise à niveau linguistique des élèves du Cycle Qualifiant, pour répondre à des besoins spécifiques clairement identifiés, analysés et hiérarchisés. 9 Aussi faudra-t-il veiller à infléchir l’activité dans le sens d’une pratique raisonnée de la langue au service de la communication. Grammaire du texte En grammaire de texte et de l’énonciation comme en grammaire de la phrase, les dimensions sémantiques de la langue constitueront une préoccupation constante. Le souci de renforcer et de relever le niveau de compétence linguistique des élèves nécessitera, en 1 ère et en 2ème
années du baccalauréat, la pratique d’activités de
langue opportunes et intégrées, tant pour les nécessaires mises au point que pour de nouvelles acquisitions programmées dans le cadre du projet pédagogique en cours. Remarque: Les activités de langue visant la maîtrise du fonctionnement de la langue, le recours à la terminologie sera au service de cet objectif et celle-ci ne pourra en aucun cas constituer un objet d’étude en soi. 3.4.3. Activités orales et travaux encadrés Le projet pédagogique intégrera des activités orales diversifiées. Plus spécifiquement, dans le cadre de l’acquisition progressive des
techniques
d’expression et de communication , on travaillera :
L’écoute; la prise de parole; la gestuelle; l’exposé; la prise de notes; la recherche documentaire; l’entretien; le rapport; le compte rendu; le P.V; etc. L’objectif principal est donc l’autonomisation de l’élève grâce à des tâches constructives et valorisantes visant le développement de compétences relatives à la communication et la préparation à l’enseignement supérieur et à la vie active. Quant aux travaux encadrés, qu’ils soient individuels ou collectifs, ils permettent d’accéder progressivement à l’autonomie. A partir de thèmes transversaux et si possibles dans l’interdisciplinarité, les élèves procèdent à la constitution méthodique de dossiers et à l’élaboration de notes de lectures, de synthèses, de comptes rendus d’enquête ou de recherche. Ils peuvent constituer des ateliers d’écriture ou participer à des travaux divers à partir de l’audiovisuel, des médias, du théâtre, etc. Dans ce cadre, le rôle du professeur est essentiel: incitation, encouragement, encadrement souple et valorisation aident l’élève à gérer lui-même ses travaux, qu’ils soient personnels ou de groupe, et à acquérir progressivement des apprentissages méthodologiques et des compétences transversales. Ainsi, les élèves, individuellement au besoin, mais généralement groupés selon leurs affinités ou au hasard des tâches confiées, réalisent des recherches dont ils ont choisi la nature et les thèmes, en accord avec le professeur et compte tenu des possibilités de chacun. Ils contribuent donc à leur propre formation intellectuelle, à 10 leur autonomisation et à l’affermissement de leur personnalité. Les thèmes choisis peuvent soit s’inscrire dans le curriculum soit être en rapport avec les Droits de l’Homme, le Droit International Humanitaire, les Valeurs Universelles, l’Environnement, l’Education en matière de population, etc., ce qui contribue à renforcer l’éducation à la Citoyenneté. 3.4.4. Activités de production écrite : La spécificité du Cycle Secondaire Qualifiant implique le recours à des activités de production écrite diversifiées, susceptibles de faire accéder l’élève au degré d’autonomie escompté. A cet effet, les pratiques de productions d’écrits porteront sur :
le résumé ;
le compte rendu de lecture;
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